Le cas "Zahirah"

Belagorn a écrit:rapport de surveillance, à l'intention de Deux-Terres
Hache-Muette laisse une lettre au Poney Fringant à l’intention de Deux-Terres. La lettre est donnée en main propre à Prosper Poiredebeurré.

Rapport de surveillances de la population à l’intention de Deux-Terres :
De retour à Bree après de longues errances en Eriador, j’ai rencontré à l’auberge de la Porte Ouest quelques hommes qui m’étaient jusqu’alors inconnus.

Le premier m’a dit s’appeler Pied-Léger. Ce nom m’est inconnu et je le soumet à vos connaissances que je sais fort grandes. Il semble que ce soit un homme de notre peuple : il a répondu sans difficulté à mes phrases en Sindarin. Il se dit bûcheron et fabricant d’arcs et de flèches. Il débute visiblement dans ce dernier art. L’homme semblait peut enclin au dialogue. Me rappellent ma personne lors de notre première rencontre. Il portait une toge noire qui laissait apparaître des pièces d’armures lourdes, ce qui me surpris tout de même : je n’ai vu jusqu’ici que bien peu d’homme de notre peuple portant telle armure. Notre discussion me laisse un jugement mitigé sur cet homme. Il ne semble que peut enclin à aider autrui, pensant surtout et avant tout à lui-même. Mais je peux me tromper!

Pendant que j’interrogeais le plus habilement ce Pied-Léger, une dame du nom de Zahirah passa et nous bouscula tour à tour. Plus tard, je remarqua la disparition de ma dague, normalement à ma ceinture. Puis l’homme remarqua la disparition d’un livre qu’il possédait.
Visiblement ce n’est point lui qui m’a dérobé la dague, ne s’étant point approché de lui suffisamment il me semble. Lors de quelques paroles que je lui adressa par test, je puis comprendre qu’elle ne connaissait nullement les noms de Valar tel que Manwe lui-même.
Tout ceci m’oblige à porter de grands doutes sur cette dame. Je pense que vous en conviendrez vous aussi.

Enfin, et non la moins intéressante, je rencontra un homme se faisant appelé Balborim. Cet homme parle sans difficulté le Sindarin. Il a une bonne connaissance des Valar. Cet homme m’a dit s’exercer à l’art de la couture et de la confection de tunique de peaux cloutées. Il se promène aussi avec plaisir aux milieu des arbres de Yavanna, afin de couper du bois et de chasser tel que le puissant Oromë. Afin de tester ses compétences dans l’art de la confection de tunique, je lui ai acheter une tunique en peaux de lapin cloutées. Je fus agréablement surpris par la qualité de l’ouvrage. Je n’aurai point fait mieux, si cela peut être un gage de qualité... J’ai alors testé son humeur et son cœur en lui exprimant ma joie de savoir pouvoir compter sur lui en cas de nécessité, en rapport avec ces compétences artisanales. Il m’assura qu’il serait toujours prêt à m’aider si le besoin se faisait sentir, dans la mesure de ses possibilités. En osant aller un peu plus loin, encouragé par de telles réponses de sa part, je lui expliqua alors qu’il était réconfortant de savoir qu’un homme était prêt à aider ceux de son peuple dans la difficulté. Il me confirma cela sans hésiter un instant. Je pris alors congés en lui assurant ma sympathie et la joie de rencontré de tel représentant de notre peuple, lui indiquant que j’aurai grand plaisir de le revoir. Il me confirma son soutien et sa volonté d’aider ceux dans le besoin.

Je vous laisse seul juge de ces trois individus, forts bien différents. J’attendrais en retour vos réflexions diverses, bien naturellement.

Respectueusement.
Que Varda vous guide lors de vos voyages, que Manwe vous conseille dans vos décisions.

Hache-Muette, à votre service.

Hilear a écrit:Amis Rôdeurs,

j'ai la joie de vous annoncer la venue parmi nos rang de la jeune
Zahirah (surnommée Couteaux-Tirés), que certains d'entre vous déjà
connaissent, en tant que Marcheuse. Je suis dès à présent son Coureur
assigné.

Faites lui bon accueil!

CC